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Pourquoi devenir un évaluateur professionnel

Les évaluateurs professionnels de l’Institut canadien des évaluateurs sont ceux qui ont réussi un programme d’études rigoureux et ont satisfait à des exigences en matière d’expérience et d’examens afin d’obtenir l’un des titres suivants :

Accredited Appraiser Canadian Institute (AACI™):

(Évaluateur accrédité de l’Institut canadien) : Le titre AACI est accordé aux personnes qui ont réussi le programme d’études menant au titre AACI et qui ont satisfait à toutes les exigences professionnelles de l’Institut canadien des évaluateurs. Les membres AACI sont qualifiés pour fournir des services d’évaluation, de consultation et d’expertise à l’égard de tous les types d’immeubles..

Canadian Residential Appraiser (CRA™):

(Évaluateur résidentiel canadien) : Le titre CRA est accordé aux personnes qui ont réussi le programme d’études menant au titre CRA et qui ont satisfait à toutes les exigences professionnelles de l’Institut canadien des évaluateurs. Les membres CRA sont qualifiés pour fournir des services d’évaluation, de consultation et d’expertise relativement à des projets résidentiels individuels non aménagés et des habitations ne contenant pas plus de quatre unités résidentielles familiales indépendantes.


REGARDER : Les membres discutent de leurs carrières passionnantes (arrive bientôt)


10 raisons pour devenir un évaluateur désigné ICE

Devenez un évaluateur professionnel de l’ICE et lancez-vous dans un cheminement de carrière avantageux professionnellement et personnellement, bien payé et qui vous donne la souplesse de travailler de manière indépendante ou comme membre d’un vaste éventail d’organisations impliquées dans l’immobilier – banques, compagnies d’assurance, gouvernements, sociétés de conseils et d’évaluation et plus d’autres.

Le salaire d’un évaluateur désigné est considérablement supérieur à la moyenne canadienne.
  • Le revenu net moyen des membres actifs de l’ICE, salariés et à honoraires, s’élève à 90 000 $.
  • Selon Statistique Canada, en 2018, le Canadien moyen travaillant à temps plein ou au moins 30 heures par semaine gagnait en moyenne $61 400 $
Obtenir un titre « évaluateur accrédité de l’Institut canadien » (AACI) peut s’accompagner d’un revenu à six chiffres.
  • Le revenu brut moyen de nos membres disposant d’un titre AACI est de 102 000 $.
  • Le revenu net moyen des membres disposant d’un titre AACI pendant leurs cinq premières années en tant qu’évaluateur est légèrement supérieur à 52 000 $.
De nombreux employeurs – des secteurs privé et public – engagent des évaluateurs désignés.
  • Sociétés de conseils immobiliers.
  • Sociétés d’évaluation.
  • Compagnies d’assurance/bailleurs de fonds/gestionnaires de biens.
  • Petites sociétés d’évaluation.
  • Gouvernement/organismes fédéraux.
  • Gouvernements/organismes provinciaux.
  • Gouvernements/organismes municipaux.
  • Sociétés de gestion à l’évaluation (AMC pour Appraisal Management Companies).
La profession d’évaluation requiert des compétences analytiques.
  • Plus de 85 % des employeurs indiquent qu’ils recherchent une pensée analytique et critique chez leurs nouveaux évaluateurs.
  • Parmi les autres compétences et domaines de pratique, les employeurs mentionnent : de plus grandes capacités analytiques comme la modélisation statistique, l’analyse de bases de données et le développement de connaissances en matière d’évaluation des impôts fonciers.
  • Des compétences en matière d’évaluation des impôts fonciers, notamment l’évaluation de masse.
  • La capacité à comprendre et à interpréter la législation.
  • Des compétences additionnelles d’analyse de base de données et d’autres compétences en TI.
On constate une importante demande en services d’évaluation chez les grands employeurs.
  • Les employeurs de plus grande taille auront un taux de roulement supérieur en raison du départ à la retraite de près de la moitié (47 %) de leurs évaluateurs désignés au cours des 5 prochaines années.
  • La plupart des grands employeurs (81 %) rechercheront de nouveaux employés disposant d’une expertise en évaluation au cours des 1 à 5 prochaines années.
  • Plus de 1 110 nouveaux évaluateurs désignés seront nécessaires au cours des 5 prochaines années.
  • Pour satisfaire à la demande des employeurs, l’ICE devra accréditer plus de 220 évaluateurs par an, une augmentation importante par rapport aux chiffres actuels.
  • Exemples de grands employeurs qui ont besoin d’experts en évaluation : des personnes morales comme Altus, Colliers, Sun Life Insurance, TD Bank, RBC; des employeurs publics comme chaque agence d’évaluation municipale et provinciale, par ex. BC Assessment ou la SÉFM (Société d’évaluation foncière des municipalités); organismes de garantie hypothécaire, par ex. SCHL et Genworth; des entreprises de service public comme Hydro One et Manitoba Hydro; et des employeurs du gouvernement fédéral comme Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC) et l’Agence du revenu du Canada (ARC). Les plus petits employeurs sont principalement spécialisés dans les sociétés d’évaluation des biens immobiliers.
La plupart des grands employeurs prendront à leur charge les frais de l’accréditation de l’ICE et de la formation visant à renforcer les compétences d’évaluation de leurs employés.
  • 68 % d’entre eux assumeront les frais d’adhésion.
  • 74 % d’entre eux assumeront les frais des cours pour les stagiaires de l’ICE.
  • 61 % d’entre eux assumeront les frais des cours de perfectionnement professionnel continu et d’autres cours de formation continu.
Les employeurs sont prêts à investir dans les étudiants afin de les aider à devenir des évaluateurs désignés.
  • Plus de 60 % des employeurs (68 % des grands employeurs; 61 % des petits employeurs) engagent des étudiants qui ont l’intention d’obtenir une accréditation.
  • Plus d’un tiers ont également déclaré qu’ils auront des ouvertures de poste pour des étudiants du programme coopératif au cours des 1 à 5 prochaines années.
Les étudiants avec une accréditation de l’ICE augmenteront leurs chances de décrocher un emploi.
  • 81 % des grands employeurs ont déclaré être « très susceptibles » d’engager des évaluateurs disposant d’un titre AACI (évaluateur accrédité de l’Institut canadien); 50 % ont indiqué qu’ils étaient « très susceptibles » d’engager des évaluateurs disposant d’un titre CRA (évaluateur résidentiel canadien); et 54 % ont indiqué qu’ils étaient « très susceptibles » d’engager un stagiaire de l’ICE.
  • 61 % des employeurs, grands et petits, accordent la plus grande importance aux étudiants qui cherchent à obtenir un titre de l’ICE, tandis que seulement 25 % d’entre eux ont indiqué qu’un baccalauréat en commerce était tout ce qui comptait.

Témoignages des membres de l’ICE :